Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le Chat de Phoebe




Les textes et les photos étant ma propriété, si vous souhaitez vous en servir, je vous remercie de m'en demander l'autorisation.



en passant ...


pour me joindre :
catherin1972@gmail.com

Un jour tu me demanderas si je préfère ma vie à toi ... je te répondrai ma vie ... et tu me quitteras sans savoir que ma vie c'est toi!

 



Prenons nos responsabilités !!!

Cliquez sur ma bannière !

 

 

Incognito rédige la gazette de nos blogs ICI


 

Le blog des Bundy en Guyane

Archives

7 septembre 2006 4 07 /09 /septembre /2006 12:54

Au début, il y avait CA ... et maintenant ... plus personnel ...

Véro et moi devant l'hôtel Biron ... merci à la vendeuse de glace du musée de nous avoir immortalisées ...

Et puis, L'éternel Printemps

vous pouvez apercevoir Le Baiser dans le miroir ...

Les mains des amants ...

Le derrière d'Eve, on s'était assise sur le bord de la fenêtre ... jolie vue, n'est-il pas ?

Tout ça pour finir dans les jardins du musée, devant un bon thé ... Marco Polo pour moi ... aux fruits rouges ... et une tite photo de ma Véro ...

 

Partager cet article
Repost0
5 septembre 2006 2 05 /09 /septembre /2006 21:56

Lexy lance une invitation à lui envoyer des mails arts ... j'y réponds ...

allez ICI pour en savoir plus sur le mail art ...

Je lui ai envoyé celui-ci ...

 

Sur la partie où se trouve l'adresse de Lexy ... où vous pouvez, vous aussi, lui adresser un mail art, ce sont les yeux et la bouche de Peneloppe Cruz ...

 

Partager cet article
Repost0
31 août 2006 4 31 /08 /août /2006 22:47

Pas de doute, nous sommes en plein dedans ... dedans quoi ... dedans vous dis-je ! ... la campagne présidentielle a commencé, même si les candidats ne sont pas investis ... même si rien n'est lancé officiellement ... la campagne a commencé ... les premières mesures sont tombées ... un treizième mois pour les smicards sous forme de prime pour l'emploi ... encore et encore et toujours plus de subventions pour les patrons ... allez allez, profitez-en l'Etat vous redonne ce que vous lui donnez, ou du moins vous le fait croire ...

Bref, hier je lisais L'Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu, de Bernard Werber ... et l'article Loi de Parkinson m'a interpelée. Le voici ...


La loi de Parkinson (rien  à voir avec la maladie du même nom) veut que plus une entreprise grandit, plus elle engage de gens médiocres et surpayés. Pourquoi ? Tout simplement parce que les cadres en place veulent éviter la concurrence. La meilleure manière de ne pas avoir de rivaux dangereux consiste à engager des incomptents. La meilleure façon de supprimer en eux toute vélléité de faire des vagues est de les surpayer. Ainsi les castes dirigeantes se trouvent assurées d'une tranquillité permanente. A contrario, selon la loi de Parkinson tous ceux ayant des idées, des suggestions originales ou des envies d'améliorer les règles de la maison seront systématiquement éjectés. Ainsi, paradoxe moderne, plus l'entreprise sera grande, plus elle sera ancienne, plus elle entrera dans un processus de rejet de ses éléments dynamiques bon marché, pour les remplacer par des éléments archaïques onéreux. Et cela au nom de la tranquilité de la collectivité.


...

Partager cet article
Repost0
30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 11:50

 

Le livre :

Le narrateur, qui est  l'auteure, raconte un moment dans sa vie, un moment de sa vie en Israël, un moment très particulier que seuls les jeunes d'Israël connaissent, le moment où leur dix-huitième anniversaire arrive et où ils partent rejoindre l'armée de défense d'Israël, le Tsahal.
Le livre commence au moment où les événements s'enchaînent dans la vie de Valérie. Le bac est là, la fin de son histoire avec Jean-David, les classes dans l'armée ... quitter ses amies et découvrir un autre univers.
Ce livre, c'est comment, elle, Valérie, qui est née en France, qui n'est arrivée en Israël que cinq ans au paravent, se sent appartenir entièrement à Israël en devenant soldate durant vingt-quatre mois.

Ce que j'en ai pensé :

J'ai été touchée par la sincérité de l'écriture. La lucidité et aussi la non complaisance. Elle dit ce qu'elle a ressenti bien plus que ce qu'elle a vécu. L'histoire d'amour dont elle ne se remet pas, la pression d'être la meilleure, d'intégrer les services secrets, les rencontres, les retrouvailles ... et la vie. La vie qui fait que ceux qui étaient ses amis n'évoluent pas pareils ... et que ceux qui ont été rencontrés, puis éloignés, reviennent en force comme une évidence.
Je m'étais souvent demandée ce que c'était d'avoir vingt ans en Israël, je m'étais souvent demandée comment on pouvait vivre en sachant que chaque instant pouvait être le dernier. Pas de peur de mourir, mais une incroyable envie de vivre. Vivre comme si chaque instant était le dernier, et non pas comme si chaque instant était un pas vers la mort.
C'est un livre touchant, émouvant ... elle nous intègre dans son intimité, je veux dire par là dans son ressenti. Elle nous offre un regard sur Israël qui n'a rien de complaisant. Elle est lucide. Ses mots le prouvent. Et surtout, on sent qu'elle l'aime ce pays, elle l'aime en étant conscience des travers et des qualités de ce derniers ... elle l'aime du plus bel amour qui soit ... un amour qui n'est pas aveuglé.
Le livre se termine le 19 octobre 1990 ... elle n'est plus soldate ... elle est redevenue civile.

- Tu sais, j'ai vraiment pensé que ces deux ans étaient une éternité.
Elle court vers la mer en criant :
- Alors, l'éternité est derrière nous !


Les citations :

. N'oubliez pas ce qu'était la sélection, les uns à droite, qui seraient immédiatement gazés, les autres à gauche, qui vivraient un peu en mourant chaque jour.

. On différencie des gens, on les mets à part, on les montre du doigt, c'est déjà un peu les tuer.

. Dans ce pays (Israël), l'humour au troisième degré et la dérision sont un mode de communication que tout le monde comprend. Une langue dans la langue. Une façon d'assurer qu'on ne prend pas son interlocuteur pour un fragile, qu'on est obligé de prendre des pincettes avec lui. Je te vanne, donc tu es des nôtres.

. Nous avons une histoire particulière, les juifs ont été persécutés surtout pendant des siècles, et les prisonniers sionistes se sont sacrifiés pour que l'on puisse vivre ici en paix.
- Tant que nous auront cette image romantique et irréprochable de nous-mêmes, nous continuerons à opprimer un peuple sans même nous en apercevoir.
- Mais c'est eux qui ...

. J'ai lu un jour que certains prisonniers une fois leur peine purgée, n'arrivent pas à vivre pleinement leur nouvelle liberté. Ils ne savent qu'en faire, elle les terrifie, ils s'y noient et dépriment. Ils récidivent alors. Simplement pour retourner en prison.

. Je me dis que nous n'avons que dix-huit ans et que, comme on dit en hébreu, tout ça est trop grand pour nous.

. La liberté, c'est la folie qui nous permet de dire aux gens tout ce que l'on pense d'eux, sans risquer grand chose.

. Il ne s'étonne pas de mes silences prolongés, il comprend tout avant même que je termine mes phrases. Il est prêt à me donner son amitié, sans exiger quoi que ce soit en retour.
Je n'ai pas l'habitude de ce type de relation : avec mes amies, c'est plutôt tendresse, passion, possession, jalousie et compagnie. Avec lui, c'est un dialoque doux, et je ne comprends pas que j'ai pu m'en passer si longtemps. (Elle évoque ici son ami homosexuel)

.Il pense que la vie n'a pas de prix, que c'est le seul slogan valable.

. Une ville laide (Tel-Aviv), oui, mais une ville qui vit à grande vitesse, comme si demain était synonyme de jamais, comme si tous allaient mourir dans quelques heures et qu'il fallait danser une dernière fois, boire un dernier verre, se soûler d'amour, de musique et d'alcool avant de faire le grand saut.

Partager cet article
Repost0
27 août 2006 7 27 /08 /août /2006 21:44

Hier, c'était ma journée avec Véro. Rendez-vous à Paris, c'est ce que lui dit sa grand-mère, à Anastacia, lors du grand bal à Saint Pétersbourg.

Après une petite balade dans le IX° et un bon tit déjeuner Au rendez vous des artistes, à côté de la Cigale, nous avons traversé Pigalle jusqu'à la place Clichy, pour prendre le métro jusqu'à la rue de Varenne, direction, le Musée Rodin.

Comme à chacune de nos sorties, les dieux du temps étaient avec nous. Pas une goutte de pluie.
La journée s'est achevée devant un bon thé, assises sous le soleil, dans les jardins de l'hôtel Biron.


Le Musée Rodin.

79 rue de Varenne.
75007 Paris.
www.musee-rodin.fr


On accède à l'hotel Biron par la rue de Varenne. Accès au jardin de devant, où l'on peut apercevoir sur la droite, Le Penseur et sur la gauche La Porte des Enfers. Face à un mur transparent donnant sur la rue, se trouve Les Bourgeois de Calais.

L'Hotel Biron est un magnifique Hotel particulier. Une fois dans le Hall, on accède à la salle de l'homme qui marche. Certaines oeuvres ne me touchent pas alors que d'autres, comme La Cathédrale ou Le Secret attirent mon oeil.

Très vite, nous faisons face au fameux Baiser qui représente Paolo et Francesca, les Héros de Dante. Je l'imaginais plus petit, ce marbre, mais vraiment plus petit. C'est une masse presque trop grande, je trouve. Je ne peux m'empêcher de tourner autour, de regarder, de chercher les détails. Paolo est si massif, si puissant. Des mollets, des cuisses épais. C'est assez déroutant. Et posée là, Francesca, si sensuel. J'ai frôlé le marbre en montrant à Véro comment Rodin avait dessiné les traits des cheveux de cette femme. C'est une oeuvre assez émouvante, dans le contraste des deux personnages.

On peut également admirer L'éternel Printemps, un petit bronze. Une reproduction à gauche du baiser, et l'original à droite. Je l'ai pris en photo. La cambrure de la jeune femme qui se laisse aller au seul soutien de son amant, le bras étendu de ce dernier comme accroché. De la douceur, de la sensualité, et peut-être même la sensation de voler un moment particulièrement intime à ces deux amants.



Les oeuvres exposées sont particulièrement diverses. Des bustes des femmes qu'ils connaissaient, les marbres volupteux, le travail de la céramique, les dessins, les huiles. Et puis sa collection personnelle, enrichie d'oeuvres égyptiennes, d'art antique. Au milieu de cette collection se trouve Iris, la messagère de dieu. Je me dis que c'est vraiment étrange que cet homme qui a pu créer, façonner des choses aussi belles et aussi sensuelles que les marbres autour de Francesca et Paolo, ait pu faire des oeuvres reconnues comme magnifiques, alors que moi, je les trouve grossière dans les traits.

A l'étage supérieur, on peut admirer la magnifique Danaïde, protéger pas un verre.

La sensualité faite femme. Je la voyais plus grande.

La Main de Dieu, ou l'origine de la création. La main qui tient une pierre d'où semble surgir un couple, Adam et Eve, un couple enlacé.


Plusieurs choses m'ont frappée dans les oeuvres exposées. D'abord la disproportion de certaines parties du corps, notamment les pieds, souvent très grands ou encore la longueur des bras. Je pense en particulier Aux trois sirènes, dont le bras de celle de gauche semble comme étiré à l'infini, aboutissant à une main longiligne pratiquement interminable.
Ensuite, à la cambrure particulière des sujets présentés, les contorsions des cous. L'un pour s'offrir sans retenu, l'autre pour se rapprocher et créer une intimité. Et puis, ce bras qui semble se rabattre dans un soucis de protection absolue.
Je pense aussi à la récurrente des trois. Les trois ombres, les trois sirènes, les trois faunesses, mais aussi la main de dieu, ils sont trois, la main et Adam et Eve. je pense aussi à ce marbre où l'homme assis embrasse une jeune femme et le couple est recouverte par une deuxième femme.
Comme si dans une histoire, il y avait forcément trois personnages.


Comme l'a fait remarquer Véro, les oeuvres sont comme surgit de la masse. J'ai alors pensé qu'il y avait là comme une métaphore. Le beau surgit de la masse informe, comme le génie de la pensée. La métaphore de la création en somme.

Bien sûr, je ne peux pas tout dire, je n'ai pas tout vu, tout regarder, tout voulu voir non plus. J'ai regretté que la Salle Camille Claudel soit fermée, j'ai regretté de ne pas avoir vu L'éternelle idole.

Mais, je n'ai pas regretté d'être venue ... et j'y retournerai ... c'est sûre.

Partager cet article
Repost0
24 août 2006 4 24 /08 /août /2006 22:46

Parfois pour X raisons, on passe à côté des choses ... et puis, un jour, ça nous saute aux yeux comme le nez au milieu de la figure.

Ce soir, je rentre, j'allume le pc, et j'allume aussi la tv, parce que l'heure des infos approche ... je regarde la deux ... je tombe ... mais j'ai pô eu mal ... sur la pub de free ... vous savez la pub avec le gars qui est abonné à crétin.fr ...

Avez-vous vu la pub, je veux dire la dernière ???

J'ai entendu la pub, et ça m'a interpellée. Pourquoi ?  Parce que j'avais cru entendre l'acteur de la pub dire, neuf.fr ... mais en fait, la suite de la pub ... comment dire à confirmer mon impression. Le serveur internet qui se fait de la pub, par un procédé subtil, assimile le neuf à crétin.fr ...

Regardez la jolie métaphore. Le gars dit que pour limiter ses appels téléphoniques, c'est simple ... il met un oeuf (avec la liaison NEUF) à chauffer comme ça ... avec crétin.fr, sa conversation téléphonique se limite à la durée d'un oeuf ... crétin.fr ... le neuf ...

Enfin, pensez ce que vous voulez mais quand même ... ça m'a sauté aux oreilles ... cette assimilation ...

Mon serveur, c'est le neuf ... suis-je abonnée à crétine.fr ???

Partager cet article
Repost0
22 août 2006 2 22 /08 /août /2006 11:52

Je suis étonnée que personne n'y ai fait référence, que cela n'ait interpellé personne.
Vous savez bien que le ministre de l'intérieur, notre cher Petit Nicolas, a lancé une grande campagne d'étude des dossiers des sans-papiers, invitant ces derniers à se faire connaître auprès des préfectures, afin d'être régularisé.
Ils se sont donc précipités pour établir leur dossier. C'est logique, je pense qu'à leur place j'aurais fait la même chose.
Au risque de donner l'impression de tomber dans l'extrémisme, cela me fait penser aux recensements des juifs.
Voilà, on a recensé un max de sans papier, et maintenant, ils ont leur adresse, leur situation, et ils vont pouvoir les mettre dehors ...
Le Petit Nicolas a bien joué son coup. Il faut dire qu'il est fort le Petit Nicolas. Il s'est caressé le peuple dans le sens du poil. Il est tout fou, mais très intelligent, quand on y pense. Il écoute l'opinion, il écoute le peuple. Non, ne rêvez pas, il ne fera rien pour le peuple, il fera comme les autres, il dira, il dira ... et il nous entubera ...
Alors, voilà, il fallait faire un truc ... ben il l'a fait ... en France, les gens sont de plus en plus racistes. Ca va mal, c'est de la faute des étrangers. Donc, on s'attaque à la source du problème. Enfin, à la source, non puisque le problème n'est pas là ...
Donc, voilà, une nouvelle fois, le gouvernement a endormi le peuple, donné l'impression qu'il agissait pour ... alors qu'il agissait contre ...

Je me demande ce qu'il va arriver à ces pauvres gens qui se sont fait connaître, qui sont ici depuis des années ... je me demande ...

C'est un Petit Nicolas que vous voulez en 2007, un Petit Nicolas qui vous endormira de beaux mots ... avec son drôle de sourire ... c'est ça que vous avez envie ... qu'on vous prenne encore plus pour des cons ... mais sans que vous vous en rendiez vraiment compte de suite ...

Bon, et puis, franchement, les autres c'est pô mieux, alors ... perso, je suis pô pressée de me retrouver dans l'isoloir ... parce que j'y pense depuis un an, et je suis très embêtée ... et j'ai l'impression que le moment venu, et bien ce sera encore de choisir la moins pire des solutions, si elle existe ...

Partager cet article
Repost0
21 août 2006 1 21 /08 /août /2006 01:15

 

 

Le livre :
Nous sommes en février 1676, une petite fille échappe à un homme en noir, en sautant dans la Seine. Un jeune garçon, Guillaume, plonge pour la sauver. Elle sera adoptée par une guérisseuse nommée Catherine, et sera logée chez les Saint Beryl, famille disgraciée par le roi Louix XIV. La fillette ne se rappelle de rien, et choisit de s'appeler Cécile.
Le temps passe, et Pauline, la soeur de Guillaume se retrouve à la cour, au service de Marie-Thérèse, reine de France, dont la maison est dirigée par la Montespan. Elle s'y rend accompagnée de Cécile,  qui passera son temps, en soignant les ouvriers de Versailles.
La Montespan pense que Pauline intrigue pour devenir la favorite du roi. Elle complote pour que les enfants qu'elle a eu avec Louis XIV, montent sur le trône. Pour cela, il s'agit de supprimer l'enfant que la Dauphine va mettre au monde, si ce dernier est un mâle.
Cécile, Pauline, Guillaume et leurs amis se retrouvent mêlés aux intrigues de la cour.

Ce que j'en ai pensé :
Ce roman historique pour la jeunesse est le premier écrit par Annie Jay. Le premier livre que j'ai lu d'Annie Jay est A la poursuite d'Olympe.
Comme elle le précise dans l'avertissement, ce complot n'est pas une réalité. Mais sans doute d'autres ont-ils été tenté ! Par contre le contexte historique est bien réel. Les allusions discrêtes ne sont pas anachroniques, et sont vérifiables. Aussi, est-il amusant de voir Pauline, lors de son introduction dans le grand monde, discuter avec un monsieur La Fontaine qui s'amuse à lui faire le portrait des présents. Et de rencontrer un de comédiens de la troupe de Molière alors décédé. Ou bien, de se retrouver dans le fameux Percée, remis à l'ordre du jour par le très tyranique Lully. Sans oublier ce cher Racine. Une façon d'évoquer nos classiques de manière amusante.
A. Jay précise également dans son avertissement, qu'elle a choisi des expressions de notre époque qui seront plus parlantes pour les "jeunes" qui débutent dans la lecture, plutot que d'employer des mots dont ils ignoreront le sens, et qui les rebutera.
Un joli roman historique pour faire aimer la lecture et l'histoire aux jeunes lecteurs.

 

Partager cet article
Repost0
19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 12:03

Je me baladais dans la partie "chaos" du Père Lachaise, j'errai en attendant Bleuz. J'ai trouvé ce témoignage simple sur une tombe ... les mots se suffisent à eux-même ...

Coeur ouvert très grand, sous les ailes de ta bienveillance,
combien ont trouvé refuge ?
Lulu la voisine, Habib le pakistanais,
David le juif, Speady le borde marginal,
Mickael le taximan Yorkais,
Viviane l'hôtesse de l'air Grecque,
Françis l'expatrié vietnamien,
et tant d'autres.

Tu réparais les cassés
tu réconciliais les séparés
tu réjouissais les tristes
tu nourissais les affamés.

Pour tous ceux qui l'ont rencontré, tu étais

La Mère.

Partager cet article
Repost0
18 août 2006 5 18 /08 /août /2006 19:07

 

Le livre : ici

Le film :

Quatre enfants, dont le père est à la guerre, sont envoyés par leur mère, loin de Londres, chez un professeur, dont la gouvernante est une vraie marâtre.
Lors d'une partie de cache-cache, Lucie, la plus jeune se cache dans une grande armoire et se retrouve dans le monde de Narnia, où règne l'hiver éternel. Elle rencontre le faune, Monsieur Thomass, qui la prend en amitié, au point qu'elle l'"humanise". Lucie retourne dans son monde et essaye d'expliquer ce qui vient de lui arriver.
Son frère Edmund va lui aussi découvrir le monde de Narnia en rencontrant la sorcière blanche. Mais il niera l'existence de ce monde parallèle.
La troisième fois qu'il franchiront les frontières de ce monde, ils le feront en compagnie de leurs deux ainés. Ainsi vont commencer leurs aventures dans le monde de Narnia.

Ce que j'en ai pensé :

D'abord, j'ai beaucoup aimé la musique. Ensuite, j'ai trouvé que la jeune actrice choisit pour le rôle de Lucie a vraiment investi le rôle.
Le film est fidèle au livre de C.S. Lewis. Je pense que le message du livre est basé sur la sincérité et l'honnêteté des sentiments, plus même, sans doute la pureté, voire l'innocence. Le mauvais ne peut atteindre la pureté.
Mais pas seulement. A travers Edmund, il s'agit aussi de montrer que l'erreur est humaine. Mais que se tromper ne veut pas dire vivre toute sa vie avec le poids de ses erreurs si l'on cherche à réparer, si on ouvre les yeux. Ce n'est pas une affaire de rédemption, mais plutôt une affaire d'accepter que l'on puisse se tromper, de les assumer, et de faire en sorte de changer la donne. Mais il s'agit aussi de montrer le regard des autres sur celui qui faute, le pouvoir de pardon. Parce qu'évidemment, on ne faute pas que vis-à-vis de soi ... donc cela implique l'autre, les autres. Se pardonner, et être pardonné ...
Un bon film familial.

Partager cet article
Repost0